Fiche de synthèse sur l’Eau
23 Avr 2024
Fiche de synthèse sur l’Eau
Établie par TEECC
à l’usage de la Communauté de Communes Cèze-Cévennes
Thème : Environnement-urbanisme-agriculture
Constats
L’eau est un sujet central dans la réflexion sur le devenir du territoire. Ces dernières années, le réchauffement climatique provoque des aléas inattendus, sécheresses à répétition et précipitations de plus en plus fortes sur des périodes de temps réduites (voir encart sur le climat).
Lors de ces précipitations, une grande partie de l’eau qui tombe n’est plus retenue et est renvoyée directement à la mer et en plus, cela crée des situations de crues très rapides. Imperméabilisation des zones urbanisées, terres agricoles exposées au rayonnement solaire qui se transforme en poterie, mauvais entretient des réseaux de fossés,...
Le printemps agricole débute de plus en plus tôt, avec des chaleurs inédites en hivers. La végétation reprends de plus en plus tôt dans l’année et donc capte l’eau qui n’arrive plus dans les nappes. Les mois de juin, juillet, août sont de plus en plus chaud et des problèmes sont donc de plus en plus apparent : sécheresses éclairs, manque d’eau potable, …
Actuellement les retrait argileux dus à la sécheresse provoquent plus de dégâts matériels que les inondations que ce soit sur le bâti ou les voie carrossables (voir https://www.cerema.fr/fr/actualites/phenomene-retrait-gonflement-sols-argileux-rga-definitions ).
En septembre la végétation reprends avec les premières pluies et donc à nouveau impossibilité de rejoindre les nappes et le froid apparaît de plus en plus tard avec une mise en sommeil de cette végétation de plus en plus tardive. « Des arbres qui refleurissent en automne, qui perdent leurs fleurs au printemps à cause du gel tardif, ou en été à cause de la sécheresse... autant d'événements qui fatiguent les plantes. C’est l’accumulation de ces phénomènes exceptionnels qui épuisent la nature". Il y en a eu une vingtaine, hors saison chaude, ces cinq dernières années. "À force d’être perturbés dans leurs cycles, les végétaux finissent par mourir, car ils n'ont plus l’énergie de reprendre", rapporte Serge Zaka agro-climatologue.
Le Gard se trouve très exposés à ces changements voir https://www.notre-environnement.gouv.fr/themes/climat/comprendre-le-changement-climatique-ressources/article/evenements-naturels-extremes?glossarise=2638
Les impacts immédiats et prévisibles
Depuis 2010 le territoire de Cèze Cévennes n’a connu que 2 années sans vigilance sécheresse en été. Sur le bassin de la Cèze, la période estivale est la plus tendue pour la ressource en eau car celle-ci est alors réduite par rapport aux besoins humains : agriculture, eau potable, industrie, tourisme et prélèvements particuliers. Ce manque d’eau en été va s’accentuer, les besoins allant en augmentation.
Le déficit total sur le bassin atteint 1,29 millions de m3 par an entre juin et septembre. Source ABCèze.
Les pistes de réflexion
Une réimperméabilisation des sols à tous les étages (aires urbaines, terres agricoles, forêt, …) avec en point de mire éviter les ruissellements vers la mer mais également prévenir les risques d’inondations des zones habitées. De nouvelles pratiques de rétention de l’eau de pluie sont nécessaires ; voir le témoignage d"Olivier Hebrard Docteur en sciences de l’eau, expert en agroécologie, permaculture et sciences de l’eau (1 minute) : https://www.youtube.com/watch?v=OuLrV5ldKjI. Une réflexion doit s’engager sur l’approche globale et les techniques à mettre en place afin de transformer les milieux en « éponge ». Il existe plusieurs stratégies à court, moyen et long terme :
Première piste : L’hydrologie régénérative par le Keyline Design
Keyline design : La keyline dénomme une caractéristique topographique spécifique liée à l'écoulement naturel de l'eau. La conception en keylines est un système de principes et de techniques de développement des paysages pour optimiser l'utilisation de leurs ressources : eau, ensoleillement, exposition, vent, flore et faune. Chaque paysage (espace agricole dans sa globalité) présente des particularités climatiques et topographiques. Le keyline design est à appliquer à chaque ferme ou terrain de façon personnalisée. Il est un des éléments à la base du design en permaculture.
Avantages
Meilleure infiltration et répartition de l'eau --> limitation du ruissellement et donc du risque d'érosion.
Gestion et régulation des excédents--> remplissage des nappes phréatiques.
Meilleurs échanges air-eau avec les plantes, le sol et le sous-sol --> meilleure pénétration des racines qui en se décomposant créent de l'humus.
Voir https://permalab.fr/comment-infiltrer-et-stocker-leau/
En résumé :
Les keylines créent une zone de production qui favorise l'enracinement, qui maximise l'utilisation de l'eau, la vie et la régénération rapide du milieu en évitant les dégâts dus aux excès (chaleur, sécheresse et/ou inondations).
https://wiki.tripleperformance.fr/wiki/Keyline_design
Étapes de mise en place :
Une société (Permalab) existe dans la Drôme qui fait des études et réalise de projets qui vont dans ce sens et voici en lien un phasage complet du processus sur une ferme andalouse de 350 ha https://permalab.fr/project/finca-el-rincon-andalousie/ et un projet sur exploitation viticole https://permalab.fr/project/domaine-tasquier-vidauban-83/
Délais :
Il semble que ce genre d’aménagements sur des parcelles privées soit très rapide à mettre en place 1 à 2 ans maximum. Sur le domaine public, cela dépendra de la volonté des pouvoirs publics ou des gestionnaires (ONF, PNC, …?) mais il est possible de porter ce genre de projet rapidement.
Coûts :
Un projet est en cours d’évaluation en Ardèche voir : https://www.avenir-agricole-ardeche.fr/articles/10/03/2023/keyline-design-une-experimentation-en-ardeche-90043/ sur un terrain de 11 ha, le coût de mise en œuvre est de 68 788 €. C'est le coût total de ce projet.
La moitié du financement est apporté par la compagnie nationale du Rhône (CNR) qui participe à hauteur d'environ 34 000 €, l'État apporte quant à lui une aide d'environ 10 000 € et le reste est apporté par Rhône Crussol, à hauteur d'environ 17 000 €. La part d'autofinancement pour l'agriculteur est de 6 000 €, ce qui correspond au temps de travail que Clément Damiens va devoir fournir pour mener à bien le projet mais aussi pour communiquer autour de cette expérimentation et des résultats.
Freins :
- Les surfaces des tranchées sont perdue pour les cultures mais des plantations alternatives dans les tranchées peuvent être mises en place.
- Une perte de temps pour l’entretient des structures.
- Convaincre les propriétaires privés de l’utilité de ces investissements.
Les exemples extérieurs
https://hydrologie-regenerative.fr/#definition
https://www.gaec-de-montlahuc.fr/transition-climatique/keyline-design/ un exemple de villages qui s’y est mit.
https://hydrologie-regenerative.fr/quelques-exemples-pour-sinspirer/ photos de territoires
https://permalab.fr/ une société qui fait cela en Drôme
Deuxième piste : Gestion des zones forestières du territoire et conservation de l’eau.
Nous avons 20 000 ha de foret sur de Cèze Cévennes, la forêt dans son ensemble est une source de rafraîchissement des températures ambiantes et également fait partie du cycle de l’eau et doit à tout prix être protégée. Une partie des communes du territoire à signé la Charte du Parce National des Cévennes voir : https://www.cevennes-parcnational.fr/sites/cevennes-parcnational.fr/files/atoms/files/la_charte_du_parc_national_des_cevennes.pdf et le SCoT révisé devrait prendre en compte les recommandations de cette charte pour l’exploitation commerciale de cette forêt. Que ce soit pour les filières bois, touristiques ou agricole.
L’agroforesterie semble être une des solutions pour réduire les consommations d’eau, protéger les sol du rayonnement solaire par du couvert permet en effet de réduire les dégâts occasionnés par la surchauffe des sols (préservation de la biodiversité végétale et animale, de l’humidité des sol, …). Cette agroforesterie pourrait être accompagnée dans sa conception et mise en œuvre par le conseil scientifique du PNC. L’Office Français de la Biodiversité pourrait également aider dans ce sens. Il semble en effet que le choix de arbres pour établir cette couverture soit d’une importance à ne pas négliger (fruitiers ? Chêne vert ? espèces non indigènes plus adaptées aux climats chaud ? ). les réponses ne sont pas évidentes .
En résumé :
Le réchauffement climatique crée des incertitudes : floraisons précoces, gels tardifs, pollinisateurs non actif au moment des floraisons, etc. Un lien vers un document de synthèse du ministère de l’agriculture https://agriculture.gouv.fr/sites/default/files/1602-ae-synthese-agroforesteriebd.pdf .
Le SCOT devrait prendre en compte ces incertitudes et établir des mécanismes qui permettent des adaptations des règles pendant sa validité.
Étapes de mise en place :
Le projet de plantation dépendra en grande partie des orientations agricoles de l’exploitation. En effet, les enjeux et les contraintes ne seront pas les mêmes selon qu’il s’agit d’élevage, de céréaliculture ou de viticulture. Un lien vers une fiche simplifiée de la mise en place de cette agroforesterie : https://transgal.projet-agroforesterie.net/pdf/Fiche11_Agroforesterie.pdf
Délais :
Pour la mise en place, cela est rapide. Pour la fonctionnalité du système : 5 ans après la plantation des arbres en fonction du type d’arbre et pour sa rentabilité rendement bois, une quinzaine d’années.
Coûts :
Voir https://afac-agroforesteries.fr/wp-content/uploads/2023/05/Bareme_2023_VF.pdf
Haies : prix au mètre linéaire +- 18 euro avec un plan s’entretient sur les trois premières années
plantation d’arbre intra parcelaire 50 arbres à l’ha :
TOTAL coût au plant (HT) En parcelle de culture 27,96 €
TOTAL coût au plant (HT) En parcelle d’élevage 43,29 € (protection des arbres incluse)
Freins :
Retard de production
L’inconvénient le plus courant et le plus visible de l’agroforesterie est le retard de production. L’agroforesterie intègre les systèmes de culture et la flore forestière, comme les arbres et les buissons, contrairement à l’agriculture conventionnelle et à d’autres techniques agricoles respectueuses de l’environnement qui ne prennent en compte que les espèces cultivées. C’est pourquoi les avantages de cette approche ne peuvent être exploités que lorsque l’habitat agroforestier s’est entièrement développé, c’est-à-dire lorsque les arbres et les autres plantes de la forêt ont atteint leur maturité et que les conditions écologiques se sont stabilisées.
Système à forte intensité de main-d’œuvre
Des connaissances suffisantes, une planification minutieuse et un entretien régulier des arbres sont nécessaires à la réussite d’un système agroforestier. Certains agriculteurs trouvent ennuyeux que la présence d’arbres ou de buissons parmi leurs cultures les empêche d’automatiser complètement le processus de production de l’exploitation. Cela nécessite un effort systématique qui varie en fonction du stade de croissance de l’arbre et un suivi fréquent. Dans leurs premières années, les petits arbres peuvent avoir besoin d’être irrigués et fertilisés. Ils doivent être régulièrement taillés et éclaircis au fur et à mesure qu’ils grandissent pour garantir une croissance saine et une bonne récolte.
Les exemples extérieurs
https://www.inrae.fr/actualites/systemes-cultures-viticoles-agroecologiques-testes-montpellier
Troisième piste : gestion forestière en milieu urbain
Une gestion forestière en milieu urbain devrait être imaginée, des îlot boisés on en effet un impact positif sur les températures en milieu urbain mais également pourraient être imaginés avoir une fonction de « bassin d’orages » et capter les ruissellement. Pour tout ce qui est des voie communales repenser à la réimplantation d’alignements d’arbres, ces alignements sont une protection des sols avec 2 effets, ombrage et casser la force des vents qui en été peuvent avoir un impact fort sur asséchement de ces sols. En ville ces alignements sont une source de fraîcheur (jusqu’à -4°C et on un impact sur la qualité de l’air).
Les forêts urbaines font partie intégrante des écosystèmes urbains, qui comprennent différents éléments (personnes, animaux, bâtiments, infrastructure, eau et air) interagissant pour avoir un impact significatif sur la qualité de la vie urbaine. Voir : https://www.adaptation-changement-climatique.gouv.fr/sites/cracc/files/fichiers/2020/03/Foret%20urbaine.pdf
En résumé :
Les forêts urbaines font partie intégrante des écosystèmes urbains, qui comprennent différents éléments (personnes, animaux, bâtiments, infrastructure, eau et air) interagissant pour avoir un impact significatif sur la qualité de la vie urbaine : atténuation du changement climatique, gestion et qualité de l’eau urbaine, qualité de l’air, biodiversité et espace urbain, gestion des sols (désimperméabilisation), santé publique et bien-être (Acoustique, Qualité de vie, Santé)
Mais aussi :
Étapes de mise en place :
Voir https://www.tdag.org.uk/uploads/4/2/8/0/4280686/tdag_tihl.french.pdf
La forêt urbaine peut être mise en œuvre à 3 niveaux sur une échelle urbaine :
− Niveau de la rue
− Niveau du voisinage/quartier
− Niveau de la ville
Parfois, cette forêt peut être mise en œuvre à l’échelle péri-urbaine
Délais :
Temps estimé avant que la forêt urbaine ne prenne entièrement effet après sa mise en œuvre : 5 à 10 ans => en fonction de la croissance des plantes Cette valeur dépend directement des espèces et de leurs propriétés de croissance. La disponibilité en eau/irrigation, les conditions du sol, la maintenance, la présence d’insectes nuisibles, etc. sont d’autres paramètres à prendre en compte.
Coûts :
Voir les coûts de l’agroforesterie au titre 5.
Freins : - coûts et volonté politique (intégration des citoyens dans le projet)
- Présence d’insectes et de parasites indésirables, Multiplication des allergies, Espaces sombres pour se cacher, Risque de heurts et de dommages envers les personnes en cas de conditions venteuses fortes.
Les exemples extérieurs
Voir : https://permafforest.fr/blog/micro-foret/foret-urbaine-definition/
De nombreuses villes commencent à s’engager dans la plantation de micro-forêts pour relever les enjeux écologiques d’aujourd’hui et de demain. Par exemple, Lyon, depuis 2017, a mis en place le Plan Canopée qui vise à planter 3 000 arbres par an. Toulouse a, quant à elle, mis en terre 1 200 arbres, en mars 2020, sur un terrain de 400 m2. Nantes a, pour sa part, l’objectif de planter et de préserver l’équivalent de 2 000 terrains de football à l’horizon 2030-2050.
Troisième piste bis : Villes éponges ou villes perméables
Tout ce qui est dit au titre 6 pourrait être relié au concept de ville éponge qui voit son apparition dans les années 2000. La transformation d'une ville en ville éponge nécessite en effet de changer les cadres de planification juridique et ses outils appropriés pour adapter les systèmes d'infrastructure de collecte, stock et de traitement des eaux pluviales. Et ici la modernisation du SCOT pourrait être une opportunité. Pour rappel la partie urbanisée du territoire est de 1600 ha. (pour 800 mm d’eau de pluie par an en moyenne, soit 8 000 m³ d’eau par ha, x 1 600 ha = 12 800 000 m³ d’eau qui ruissellent vers où ?). Pour info la totalité de l’eau pompée pour les usages du territoire est de 5 500 000 m³ par an et de plus ou moins 12 000 000 m³ par an sur la vallée de la Cèze.
Voir https://publications.cerema.fr/webdcdc/les-essentiels/ville-permeable/
En résumé
L'objectif d'une ville éponge contraste fortement avec le génie urbain conventionnel qui consiste à centraliser et à accumuler l'eau, à accélérer le ruissellement par le 'tout tuyau', et à lutter contre l'eau par des murs anti-inondation et des barrages (voir article Wikipedia, note n°5). Par exemple, il s'agit de jouer sur les revêtements et leur porosité ou leur perméabilité, mais aussi sur la végétalisation des murs ou des sols afin de permettre l'infiltration des eaux de pluie.
Le concept de ville éponge s'appuie sur des techniques alternatives de gestion des eaux de ruissellement urbain. Aussi, les effets de l'infiltration, de purification par la végétation et des zones humides sur la qualité de l'eau permettent à la ville d'envisager une redistribution des eaux de pluie dans les réseaux. Les espaces verts urbains et les masses d'eau urbaines - les zones humides artificielles, les jardins pluviaux, les toits verts, les espaces verts en retrait, les fossés d'herbe et les parcs écologiques - sont les « corps d'éponge » centraux. Ainsi, pour lutter contre la fragmentation écologique, la ville éponge peut permettre la construction de corridors écologiques, le renforcement des connexions entre les parcelles et la formation d'un réseau de trames bleues et vertes.
Étapes de mise en place :
Bien comprendre la réglementation entourant la gestion des eaux pluviales. Limiter l’artificialisation des sols : c’est l’objectif du « zéro artificialisation nette » (ZAN) d’ici à 2050, fixé par la loi Climat et résilience de juillet 2021.
https://www.ecologie.gouv.fr/lancement-du-premier-plan-national-dactions-gestion-des-eaux-pluviales
La France lance un plan national d’actions qui parle de : l’adaptation des villes au changement climatique : nature et végétalisation en ville, lutte contre les îlots de chaleur urbains, etc. devient une nécessité.
Et ici un article de la banque européenne d’investissement qui met en avant le financement des projets d’adaptation des villes https://www.eib.org/fr/essays/urban-climate-adaptation/
Dans notre cas (révision du SCoT) cette évolution doit se faire au cas par cas chaque ville ou village du territoire a ses spécificités, le SCoT doit prendre en compte ceci.
Règle de récupération et réutilisations des eaux pluviales en milieu urbain, infiltration dans les sols, désimperméabilisation systématique là où c’est possible. Ci-après une fiche qui permet de comprendre les moyens de désimperméabiliser. https://www.cerema.fr/system/files/documents/2022/11/2022_plaquette_desimpermeabilisation.pdf
Comment financer une opération de désimperméabilisation ?
Les financements peuvent être directs via les Agences de l’eau si le projet de désimperméabilisation est couplé avec l’introduction de techniques alternatives de gestion des eaux pluviales pour infiltrer et/ou réutiliser les eaux de pluie déconnectées du réseau. Ils peuvent être indirects en fonction des objectifs et de la nature du projet (lutte contre l’effet îlot de chaleur urbain, restauration de continuité écologique, renaturation pour expansion des crues, végétalisation de toitures, friches urbaines en renouvellement, aménagement d’espaces publics, etc.). L’objet principal de l’opération n’est pas uniquement la désimperméabilisation des sols, mais peut comporter d’autres volets qui peuvent mobiliser d’autres sources financières.
Ce que dit la loi :
Les exemples extérieursVoir exemple communes de Boigny sur Bionne projet lancé en 1990 https://www.capitale-biodiversite.fr/experiences/gestion-forestiere-des-bassins-dorage.
Bassins d’orages https://www.guidebatimentdurable.brussels/citernes-bassins-dorage-0#quelles-sont-les-diffrentes-formes-de-bassins-dorage
Et pour aller plus loin : les dispositifs pouvant servir de bassin d'orage :
Dispositif | Toitures stockantes
Dispositif | Tranchées ou massifs enterrés
Dispositif | Massifs stockants
Dispositif | Structure Aléolaire Ultra Compact (SAUL)
Les dispositifs en lien avec les bassins / citernes d'orage :
Dispositif | Régulateur de débit
Dispositif | Citerne de récupération
Vue d'ensemble des dispositifs du Dossier | Récupérer l'eau de pluie
https://www.theurbanist.org/2023/02/08/urbanism-101-what-is-a-sponge-city/ en anglais
https://www.demainlaville.com/la-ville-eponge-modele-de-resilience/ Bouygues immobilier
https://www.afd.fr/fr/carte-des-projets/ville-eponge-repenser-gestion-ressource-eau-quartier-hedong-mianyang (ici un projet en Chine de l’agence française du développement : pourquoi pas en Cèze Cévennes ?).